Vincent Michel

Informations techniques

On trouvera sur cette page un certain nombre d’informations concernant les aspects techniques de mes activités. Elles sont rassemblées par catégories.

Studio

Ordinateur
PC Intel Core i7-3770 CPU@3.40GHz 16Go RAM en rack 3U Chenbro
Écran tactile
IIyama ProLite
Carte audio
RME Audio Hammerfall HDSP 9632
Extention de carte audio
RME Audio AO4S-192
Contrôleur analogique de monitoring
SPL Volume 8
Calibrage du monitoring
Sonarworks Reference, enceintes et casque
Enceintes de monitoring
5 KRK RP6 G3
Caissons de basses
2 KRK 10s
Casque audio
Beyerdynamic DT 770 Pro
Studio intégré numérique
Zoom R24
Clavier maitre, contrôleurs MIDI
Roland A49
Zoom R24
Capteurs proximètres IR Interface-Z

Éditeurs audionumériques

Adobe Audition CS6

Steinberg SpectraLayers Pro 6

Stations de travail audionumériques, éditeur de partition, utilitaires

BrainModular Usine Hollyhock

Steinberg Cubase Pro 10

MakeMusic Finale

Sonarworks Reference 4

Nerds.de LoopBe30

Cokcos Reaper

Design sonore et mastering

SoundTheory Gullfoss

FabFilter Pro-MB

Hofa IQ-EQ V3

INA-GRM Tools Complete II

Flux:: Studio Session Pack

Lexicon PCM Native Reverb

Zynaptic Morph

Native Instruments Komplete

Waves Sound Design Suite

. . .

Instruments virtuels, synthétiseurs, générateurs de bruit et banques de sons

BrainModular Usine Hollyhock

UVI Falcon et extensions

SoundLib G-Player

Arturia Moog Modular V

NI Reaktor 6

Ni Absynth 5

iZotope Iris 2

8dio Lacrimosa, 8dio Century Orchestral Harps, 8dio Blendstrument (Motion Textures, Strange Pulses, Alive Percussions)

Peter Ewer’s Orgue Cavaillé-Coll de la Madeleine, Paris

Gary Garritan Giga Harp

Native Instruments Komplete

. . .

Écriture

Pour écrire, l’outillage est très minimal : un ordinateur, un bon traitement de textes et surtout de la ténacité. Ça ne s’achète pas, la ténacité. Et en plus, je crois bien que ça s’érode…

Quelqu’un m’a dit un jour que le traitement de textes, il l’avait dans la tête. Je n’ai alors pas eu la présence d’esprit de lui demander si son imprimante était connectée en USB, en Bluetooth ou par télépathie…

Quoi qu’il en soit, je doute qu’il existe encore aujourd’hui un éditeur acceptant les manuscrits.

Il est vrai qu'écrire à la main ou au traitement de textes, cela impacte le style de manière sensiblement différente, alors qu’est-ce qui est le mieux ?

Il y a quelques années, j’ai essayé Scrivener sans découvrir à quoi il pourrait m’être utile. J’ai eu le sentiment que cela permettait de faire l’écrivain, mais pas d’écrire. De plus, irrespectueux de la typographie française.

Je n’aime guère que le logiciel s’interpose, voire m’impose sa culture, ses méthodes ou son flux de travail. D’une manière générale je n’apprécie pas ce qui me met des bâtons dans les roues en prétendant m’aider.

Par contre j’aime parfois utiliser Scapple pour jeter en vrac des idées, puis les structurer, les relier, les développer ou, le plus souvent, les abandonner. Il se complète assez bien avec un dictaphone, que j’utilisais surtout lors de longs trajets en voiture.

Il y a aussi un bloc de petites feuilles de 8 sur 8 en strates diversement colorées ; lorsque la couleur change, il est temps de jeter toutes celles qui trainent en vrac sur mon bureau…

J’utilise donc essentiellement Microsoft Word, agrémenté de quelques macros et d’un set de raccourcis-clavier. Un clavier silencieux, fin, et discrètement rétroéclairé pour travailler dans l’obscurité.

Un autre outil très important : les dictionnaires. Mais lorsque j’y fourre mon nez, j’ai tendance à ne plus savoir les refermer.

Il faut aussi du temps, du silence et du calme ; la nuit m’en offre sans compter, et de la meilleure qualité.

J’allais oublier le fauteuil ! Eh bien pour moi c’est une chaise de bureau confortable et réglable dans tous les sens. Pas d’accoudoirs, pas d’appuie-tête, pas de luxe inutile.

Enfin, je ne sais pas si on peut classer cela parmi les outils, mais une maison d’édition et des relecteurs professionnels, ça peut aussi s’avérer indispensable le jour où il nous semble avoir achevé un roman…

 

Il va sans dire que ce qui manque le plus, généralement, c’est le temps.

J’ai pu tester pendant deux mois la journée de 30 heures : dix heures pour dormir, treize à quinze heures pour travailler (en trois tranches), et le reste pour faire tout ce qu’on veut. Socialement décalé, certes, mais efficace.

Cela dit, que la journée dure 30 heures ou pas, le temps file toujours plus vite.

 

Je lis peu, et lentement. Les deux seules raisons qui m’y poussent sont le besoin de m’informer ou celui d’apprendre. Cela peut aussi bien porter sur le contenu que sur la forme ou le style.