Une histoire ancienne…

XKTdra ne date pas d’hier, c’est le nom que prennent quelques projets collectifs.

Ce nom a été élaboré en 2007 par Emmanuel Bing, un ami d’antan.

Depuis, pas mal de choses ont évolué, notamment la musique.

Au début, c'était essentiellement gothique : trilobes ou ogives flamboyantes, clavecins baroques, solarisations exacerbées, nappes sombres et drones inquiétants. Chant borderline, ambiances décalées comme Champs d’Asphodèles, l’Homme Qui Marchait Dans Sa Tête ou encore une Mort d’Arthur qui aujourd’hui ne pourrait probablement plus être prise très au sérieux…

Il y eut aussi le plus ésotérique Marelle.
 

XKTdra version 2007

Harpe classique & design sonore

Le phénix vit solitaire, longtemps, puis meurt consumé. Et voici XKTdra renaissant dans son lit de cendres :

Une harpe, une véritable grande harpe de concert, jouée par une véritable harpiste. Une harpe au cœur d’un monde sur le point de s’embraser à nouveau, sur le point de la consummer une nouvelle fois. Mais nul ne peut prédire si l’oiseau renaitra encore.

Quant à ce monde sur le point de s’embraser, très matérialiste, sans magie mais sorcier, c’est l’audio tout-numérique. Son ubiquité, c’est le multicanal immersif.

Avec lui la harpe dialogue, lutte, négocie, perd et gagne, on ne sait plus très bien.

 

Au stade actuel du projet, la partie électro est assurée par la harpe MIDI mise au point par Jakez François, directeur de la Maison Camac, avec la collaboration de Jean-Philippe Lambert, ingénieur à l'IRCAM.

Nous verrons donc une harpiste jouant la partie de harpe, et un harpiste sur une harpe électronique pour jouer tout ce qui n’est pas du tout — ou pas tout à fait — de la harpe.

Site de XKTdra

Le projet XKTdra bénéficie d’un accompagnement personnalisé de la part de la SACEM.
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